Valérie Toubas et Daniel Guionnet — Point Contemporain, 2016
Au rythme et au son du déclencheur du diapo-projecteur, Ludovic Sauvage fait rentrer le spectateur dans une boucle de trente-trois pastilles dans lesquelles se reconnaissent des vues d’architectures et de paysages. Des images universelles rappelant même parfois celles que l’on peut trouver dans les boutiques de souvenirs sur les lieux touristiques, que l’artiste transforme parce qu’il définit par un «geste simple». Un geste qui donne une autre réalité à l’image, une nouvelle version, parallèle, de celle-ci. A la croisée des techniques, Ludovic Sauvage nous parle de l’image et de sa portée, de sa force d’évocation.
Retrouvez l’intégralité de l’article ici →